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Zoom sur l’accueil de la petite enfance à Toulouse

Il fait bon vivre à Toulouse et la ville rose affiche une croissance démographique constante qui fait exploser ses besoins d’accueil et l’oblige à mener une politique petite enfance des plus réactives. Engagée pour une mixité sociale assumée qui ne fait pas l’unanimité, elle réussit cependant à faire cohabiter une certaine pluralité de gestionnaires, en soutenant l’accueil individuel et prenant largement appui sur le secteur associatif - peu sur le secteur privé - pour construire son offre d’accueil. La pénurie de professionnels et la pression foncière n’en restent pas moins difficiles à contourner.
Sommaire Une démographie galopante et une forte mixité sociale Une politique petite enfance dynamique et ambitieuse Une étape de la Concertation territoriale Un guichet unique qui priorise les familles qui travaillent L’accueil collectif et les défis de la mixité sociale 13 millions d’euros, insuffisants pour le secteur associatif La moitié des crèches associatives refusent d’intégrer la CApAJE Un secteur privé porté par Babilou et la Mutualité Française Une complémentarité assumée avec le secteur privé Les micro-crèches Paje ne sont pas les bienvenues « On s'épuise avec l’accueil occasionnel »  Maintenir un accueil individuel qui s’étiole 9 crèches familiales qui peinent à recruter Les MAM, un modèle jugé encore fragile  Le coût du foncier, une problématique à travailler Pénurie : à Toulouse, on s’engage pour les pros Des projets associatifs forts pour l’inclusion et le...
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Article rédigé par : Laurence Yème
Publié le 02 octobre 2023
Mis à jour le 12 juin 2024